Allégeance de la Noblesse de mérite [Oct./Nov. 59]

Un messager arriva l'air éreinté, il venait de Chinon ou son seigneur se trouvait encore, il tenait dans ses mains un parchemin, l'homme cherchait du regard a qui il pouvait bien remettre le parchemin, il vit un garde et lui demanda si il pouvait s'occuper de donner le parchemin a un homme appelé Kami.
Le garde prit le parchemin et invita l'homme a quitter les lieux, le messager prit le temps de s'assurer de la livraison du parchemin il avait du se faufiler sur des terres en guerre et il ne pouvait imaginer ne pas remplir sa mission jusqu'au bout.
Le garde donna le parchemin a un homme qui semblait être le chef de cérémonie, le messager reprit le chemin de Moulins ou il devait y retrouver son maitre.

Citation :

Par la grâce d'Aristote,
nous, Toflegrand , humble Seigneur de de Chamblet et de Marcenat en Bourbonnais-Auvergne,

à vous, Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerainne vous, Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais fidélité (obsequium), aides et services armés (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerainne, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerainne, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous Toflegrand, humble Seigneur de Chamblet et de Marcenat en Bourbonnais-Auvergne, a écrit et ratifié,

Date en l'enceinte de la ville de Chinon, le mardi VIII des calendes de novembre de l'an Pâques MCDXI

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

Après qu'elle eut rédigé réponses aux missives qui lui furent portées, Korydwen se présenta pour prêter allégeance.

Moi, Galswinthe de Ludgarès, duchesse du Bourbonnais-Auvergne, accepte votre allégeance , je vous accorde en retour protection justice et subsistance pour vous et les vôtres.

Elle lui tendit la main pour l'aider à se relever et lui fit le baiser de paix.


Ta présence ici me touche particulièrement. Je sais Althiof blessé as-tu des nouvelles?

Puis, fronçant les sourcils.

Tu me sembles avoir eu bien du mal à ployer le genou, il faudra que je regarde cela.

Une autre missive lui était parvenue, aussitôt elle enchaina en prenant plume et vélin pour y répondre.

Citation :

A Toflegrand, seigneur de Chamblet et de Marcenat,

Je reçois ce jour votre allégeance et l'accepte, je vous accorde en retour protection justice et subsistance pour vous et les vôtres.


Fait à Clermont le 30 octobre 1459

Galswinthe de Ludgarès, duchesse du Bourbonnais-Auvergne.

Kory venait de finir son allégeance devant Gals, avec bien du mal due à sa blessure de guerre. Malvi voyant que personne ne prit la place s'avanca à son tour et ploya le genou devant Gals.

Moi, Malvinas de Mialans, Dame de Banson en Bourbonnais-Auvergne, reconnaissons comme suzeraine vous, Galswinte de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes.
Que nous vous devons désormais fidélité, aides et services armés et conseil,
Que si un conflit venait vous opposer vous, Galswinte de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne, notre suzeraine, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Elle avait tout sorti d'un trait, sans bafouiller. Elle reprit légèrement sa respiration, puis elle regarda Gals et lui sourit.

Petitrusse laissa le temps à Malvinas de se retirer, puis s'avança.

Il ne pouvait pas cacher son plaisir de faire son allégence à l'une des personnes qu'il appréciait le plus en Bourbonnais Auvergne, pour avoir travaillé de nombreuses fois avec elle, malgré qu'ils n'étaient pas du même parti à cette époque là.
Malgré qu'il avait arrêté la politique, Petitrusse continuait par moment a travailler avec Galswinthe, lui en tant qu'Intendant Royal pour les Provinces du Centre, et Galswinthe, en tant que conseillère ducale.

Petitrusse s'agenouilla.

Moi, Petitrusse, Duc de La Mothe-Bromont, reconnaissons comme suzeraine vous, Galswinte de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais fidélité, aides et services armés et conseil,

Que si un conflit venait vous opposer vous, Galswinte de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne, notre suzeraine, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Petitrusse attendit ensuite la suite.

Toujours affairé à compter les nobles qui prêtaient allégeance et à recevoir les courriers...un d'eux le fit sourire. Il se pencha vers Galswinthe en le déposant au bord du bureau pour qu'elle le prenne...

Voici un nouveau courrier, Votre Grâce, vous n'avez pas besoin d'y répondre puisqu'il n'était pas utile de faire un courrier mais je vous le laisse.

Citation :

A Sa Seigneurie Glaswinthe de Ludgarès, duchesse du Bourbonnais Auvergne et de Lapalisse, baronne d'Arfeuilles et d'Herment, Dame de Saint-Saturnin,

De nous, Thibaud-Xavier de Ludgarès, duc consort du Bourbonnais Auvergne, duc de Lapalisse, baron d'Arfeuilles et d'Herment, Seigneur de Saint Saturnin, pair de France,

Ma mie,

Profitant du répis conféré par ma convalescence après une blessure sérieuse mais en bonne voie de guérison, et en espérant que cette missive vous parvienne bien que je sois derrière les lignes ennemies, avec nombre de nos soldats blessés, je renouvelle par la présente l'allégeance des Ludgarès à la couronne du Bourbonnais Auvergne, représentée par vous, ma mie, et vous assure de mes auxilium, consilium et obsequium.

Puisse la victoire être proche et permettre nos retrouvailles,

Faict à Poitiers le 04 novembre 1459

T.-X. de L.

En rajoute encore un autre...

Citation :

De Nous, Léceline de Carpadant, Comtesse de Fézensac, Vicomtesse de Juillac et de Montboissier,

A vous, Sa grâce Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne.

Paix et Prospérité.

Par la présente venons vous féliciter et vous faisons serment d’allégeance pour la Vicomté de Montboissier, nos terres.

Nous vous reconnaissons vous Sa Grâce Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne, élue par les urnes et reconnue comme légitime par Sa Majesté Nebisa de Malemort Reine de France, comme suzeraine.

Nous vous devons désormais Obsequium (Respect), Auxilium (Aide) et Consilium (Conseil).

Que si un conflit venait vous opposer vous, Sa Grâce Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les
dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous, Léceline de Carpadant, avons écrit et ratifié,

Fait à Thouars, en Poitou, le treizième jour, du onzième mois de l’an de grâce MCDLIXI.

Bien les premières allégeances passées, plus personne ne semblait bouger donc Val1 se leva, s'avança vers la duchesse et Auvergne. Il fait un ousrire à tous les deux et s'agenouilla. Il dit :

Nous, Val1, seigneur de Chalinargues, renouvellons en ce jour notre allégeance au Duché du Bourbonnais-Auvergne.

Nous vous reconnaissons Vous, Galswinthe de Ludgarès, comme légitime Duchesse du Bourbonnais Auvergne.

Nous vous jurons ainsi aide (auxilium), conseil (consilium) et respect (obsequium).

Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose vous, Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais Auvergne, à un tiers, nous prendrions cause pour vous.

Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose vous, Galswinthe de Ludgarès, à sa Majesté Nebisa de Malemort, Reyne de France, nous prendrions cause pour elle et le Royaume de France.

Cela dit, il attendit la réaction de la duchesse.

Se présenta alors le seigneur de Menat, qu prêta son serment d'allégeance, auquel elle répondit :

Moi, Galswinthe de Ludgarès, duchesse du Bourbonnais-Auvergne, accepte votre allégeance , je vous accorde en retour protection justice et subsistance pour vous et les vôtres.

Elle l'invita à se relever et lui fît l'accolade vassalique pour sceller cette allégeance.

[Jme permets d'incruster Javert en partant du principe que les allégeances sont publiques et ouvertes au peuple. Si jms ce n'était pas le cas, n'hésitez pas à me le signaler.]


"Tire pas des plans sur la comète, Javert. T'es très loin de ce monde là."
À peine fut-il arrivé qu'il lui vint aussi sec l'envie de décamper. Large d'épaules, Javert suivait les évènements depuis le petit passage surélevé qui contournait les colonnades. Intéressé par l'élite ici assemblée du Bourbonnais Auvergne, il était venu assister au dénouement de cette cérémonie, avec la désinvolture de quelqu'un qui n'y est pas directement concerné. Auparavant, il ne surveillait que des personnes absentes des réseaux de la respectabilité publique. Là, il ne pouvait faire autrement que de s'incliner devant les nobles qui passaient devant lui, pour montrer qu'il n'était pas là en tant que vassal, mais comme simple habitant du Duché qui portait les stigmates du dénuement le plus profond au travers d'une absence relative de vêtements décents. Voilà pourquoi il resta sagement en arrière. Mais dans un recoin de son esprit vint se nicher un trouble qu'il ne s'expliqua pas ... Du moins pas immédiatement.

Un peu plus au nord des terres du BA , aux pieds de remparts où certaines des armées alliées se sont regroupées , une plume gratte un parchemin . Elle n’avait pu répondre de suite à la demande d’allégeance , faut dire que lorsque trois ou quatre vous tombe sur le dos , on y laisse parfois des plumes , enfin des plumes …. Une épée ça c’était sur , la deuxième ? la troisième ? elle commençait à en perdre un peu le compte et si son bouclier pour une fois avait résisté , il n’avait pu totalement la protéger , l’acier ennemi avait entaillé de nouveau ses chaires , un gris contre un noir , qui es tu ? toi que j’occis alors que je glisse à terre , as-tu une famille , une amie , une mère qui te pleureront ?

La jeune femme soupira , par le panneau ouvert de la tente elle voyait les soldats aller et venir , elle savait qu’il leur resterait à tous de ces images de guerre , que leur regard se perdrait parfois , que des mois de combat ne s’effaceraient pas ainsi , elle savait aussi qu’un lien s’était tissé entre eux , un lien indéfectible , de ceux qui se forment dans de telles périodes
Le SC sabla le parchemin , le scella de son sceau . Quelques temps plus tard ,plus ou moins longs selon divers facteurs non négligeables , le pigeon , auquel elle l’avait accroché , profita d’une fenêtre ouverte pour entrer , dans un état de fraicheur moindre , dans la salle d’allégeance du BA , cibla Auvergne , laissa tomber le message , comptant bien en retour avoir graines et eau à volonté ^^

Citation :

A sa grâce Galswinthe de Ludgarès, duchesse du Bourbonnais Auvergne et de Lapalisse, baronne d'Arfeuilles et d'Herment, Dame de Saint-Saturnin

En espérant que mon pigeon vous délivre bien ce message , ne pouvant me rendre au château pour vous prêter allégeance , bloquée comme vous le savez plus au Nord , et mon époux étant alité , je vous prie de bien vouloir considérer ce parchemin par lequel


Nous, Legowen du Kastel de Rhiannon et Guy du Kastel de Rhiannon , Barons de Yolet, Seigneurs de Chaptuzat, du Soleillant et de Cheval-Rigon
Nous reconnaissons Vous , Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais Auvergne.,comme notre Duchesse et Suzerainne
Nous jurons, sur nos terres et notre épée , que nous vous apporterons tout au long de votre mandat : auxilium, consilium et obsequium et vous renouvelons notre confiance pleine et entière pour mener le BA en cette période difficile

Que si un conflit venait à vous opposer, vous ,Galswinthe de Ludgarès, Duchesse du Bourbonnais Auvergne, notre suzerainne, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous et le Bourbonnais Auvergne.

Que si un conflit venait à vous opposer, vous , Galswinthe de Ludgarès, à sa Majesté Beatritz de Castelmaure, Reyne de France, Souveraine du Royaume, nous prendrions cause pour notre Souveraine.


Faict le 30 Octobre 1459

Legowen du Kastel de Rhiannon