Allégeance de la Noblesse de mérite [Juillet 1457]

Toflegrand de Chamblet regarda sa marraine preter allégeance et recevoir le baiser de sa Grasce Tixlu, ce fut son tour d'avancer et de ployer genou devant le Duc et de preter allégeance

Nous, Toflegrand, Seigneur de Chamblet, nous présentons à vous, Vostre Grasce Thibauld-Xavier de Ludgarès, en ce IIème jour du mois d'Août, afin de renouveler nostre serment d'allégeance au Duché du Bourbonnais-Auvergne.

Nous reconnaissons comme suzerain vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, Duc du Bourbonnais par la grasce des urnes,

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour nostre Roy.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que Dieu vous garde !

Le Duc vit alors se présenter le Seigneur de Chamblet pour son allégeance. Le duc haussa un sourcil.

Seigneur de Chamblet, avant que d'accepter votre allégeance, souffrez que je vous pose une question. Récitez vous ces mots parce qu'ils sont requis ou parce que vous y croyez ? Quel sens a pour vous l'obsequium que vous me jurez ici ?
Car j'attends de vous comme de chacun qu'il croit en ses promesses et les tienne. S'il est une place pour des conseils de la part de nos vassaux, et si nous ne rejetons pas critiques contructives, où est l'obsequium dans vos récentes prises de position ? Où est le consilium quand alors que vous y êtes convié vous déclinez en table ronde et affublez ce qui est une discussion constructives de noirs desseins électoralistes ou que sais-je ?

Car l'allégeance n'est pas faite de vains mots. C'est un serment fort. Alors, Seigneur de Chamblet ? Qu'est-ce pour vous ?

Val1 entendit es derniers mots du duc, quand un page s'approcha de lui. ll décacheta le sceau et fit un grimace. Paris le demandait d'urgence, zut de zut en pleine allégeance.

Il fila donc discrétement à son burau et rédigea un mot pour Auvergne. Une fois fait, il remit le document à un page avec mission de le remettre au héraut.

Les allégeances et les courriers s'enchainent.Thib attend tranquillement son tour, lorsque le Duc reprend Trollfarceur. Le silence se fait dans la salle, chacun attendant la suite des évènements . . .

Votre Grasce vous etes en pouvoir de refuser mon allégeance c'est comme vous le voulez, oui je m'oppose a certaine de vos décisions mais n'est pas la aussi notre devoir de protéger nos villageois, quand votre conseil ou un conseillé fait acte de bétisses nous devons nous de nous taire si c'est le cas alors oui votre grasce refusez mon allégeance et enlever moi ce titre qui m'empêcherait d'etre moi meme un serviteur de mon duché.
J'ai toujours oeuvré pour mon Duché et on ne pourra jamais le contesté et avec quelques Duc ou Duchesse que se soit donc je me remet a votre décision et l'accepterais.
Le Seigneur de Chamblet resta un genou ployer et attendit

Chamblet, il ne s'agit pas du fait que j'accèpte ou non votre allégeance mais d'une question essentielle à laquelle je vous ai mandé de répondre. Votre devoir est autant envers le duché qu'envers les villageois, et se laisser guider par son amertume n'est pas approprié pour un noble de mérite. Je vous suggère d'y bien réfléchir et de savoir exactement ce que vous entendez par obsequium et par consilium. Il ne s'agit pas de désaccords avec certaines décisions, vous êtes venu en montrant les dents dès les premiers jours du mandat, agitant je ne sais quelles sombres affaires partisanes qui n'avaient pas lieu d'être et qui se sont d'ailleurs avérées fausses. Avant même quelque décision que ce soit vous avez dit refuser de participer à la consultation sur l'économie à laquelle vous étiez invité. La critique constructive est acceptable et acceptée, mais l'obstruction par amertume, car oui c'est ce qui vous anime depuis votre démission de la COBA, ne l'est pas. Vous prenez bien souvent position en méconnaissance totale de l'ensemble des paramètres, c'est dommage, mais qu'au moins vos révoltes soient justifiées. Un titre de mérite n'est pas une médaille qu'on accroche pour montrer un mérite passé, c'est une responsabilité et une charge, celle bien sûr des habitants du fief que l'on reçoit, mais également une responsabilité envers le duché et envers son duc. Celle de loyaux conseils, avisés, celle du respect, et j'y tiens, et celle d'aide.

Aussi, je ne méconnais pas vos mérites passés, ni votre investissement en tant que maire. Je ne doute pas non plus de votre intention de mener à bien ce mandat. Je compte donc acèpter votre allégeance. Mais avant cela, je vous demande, Seigneur de Chamblet, de bien méditer sur le serment que vous avez à prêter. Sur chacun de ces trois mots et sur le sens qu'ils ont, profond. Et je vous demande donc de renouveler, à nouveau, ce serment, pour lequel alors je saurai que vous le faites avec sincérité, non pour respecter un protocole incontournable, en oubliant le serment passé sitôt l'allégeance validée.
Je vous ai connu homme d'honneur, droit et juste... Je suis bien désolé de ne plus retrouver actuellement trace de ces traits de caractère chez vous. Je ne sais ce qui pourrait venir à bout de votre rancoeur, mais vivre ainsi ne saurait être bon, ni pour vous, ni pour quiconque.

Je suis vexé par vos mots vostre grace vous savez et vous le dites que je suis un homme d'honneur je n'ai jamais failli a mon devoir et en ce qui me concerne je peux le clamer haut et fort car je ne traine pas derriere moi des rumeurs longue comme les chemins menant en bretagne et si je prete allégeance vous savez que je suivrais celui ci,je n'ai point de rancoeur mais je dis haut et fort ce que beaucoup n'ose dire ou le dise a mot couvert de peur de se faire taper sur les doigts, a chaque fonction que j'occupe je travail d'arrache pied pour le bien des autres donc si vous appelez cela rancoeur et bien soit c'est de la rancoeur ou de l'obstruction par amertume.
Ma demission de la COBA est le début de mon combat contre les sois disant grand homme qui ne font rien et profite du travail des autres vous savez de qui je parle et je n'ai plus aucun respect pour cet homme qui a bafouer toutes les institutions par lesquelles il est passé et ce sont des mots avéré et fondé meme si c'est un de vos amis.
je connais le poid des mots obsequium et consilium et je les accepte, le jour ou je ne les accepterais pas je ne me présenterais pas et vous le savez, j'ai un énorme respect pour le regretté Duc Sallaberry et je ne lui ferai jamais l'affrond de vendre mon ame.

Auvergne écoutait ce qui se disait, restait surtout admiratif de cette joute verbale à laquelle il assistait. C'était sans nul doute le moment de cette cérémonie dont on se souviendrait.

Pour le moment, le serment du Seigneur de Chamblet n'était pas encore accepté. Il ne manquait plus grand monde à passer. En attendant l'échange entre le Duc du Bourbonnais-Auvergne et son vassal de Chamblet, Marty déposa un parchemin non loin du trône ducal...

Citation :: Nous, Val1, Seigneur de Chalinargues, nous vous renouvellons notre serment.

Nous reconnaissons comme suzerain vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, Duc du Bourbonnais par la grasce des urnes,

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour nostre Roy.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Nous regrettons de ne pas pouvoir vous présenter l'alégeance en personne, mais certains événements requièrent notre présence à Paris.

Fait au bureau du Secrétariat d'Etat duBourbonnais-Auvergne

Val1
Seigneur de Chalinargues

Les minutes s'égrenaient et la journée allait prendre fin, et avec elle la cérémonie d'allégeance.

Vous en êtes vexé j'en suis fort aise. C'est non sans fondement que j'ai pris la décision de vous inciter à réfléchir à la portée qu'a votre serment. On croit parfois bien agir aveuglé par son ressentiment, causant alors plus de nuisances que l'on ne le penserait. Gardez bien à l'avenir à l'esprit à quel point ce serment que vous avez prêté est important et doit régir toutes vos actions. Vous êtes membre de la noblesse de ce duché et à ce titre devez être un exemple, non céder aux pulsions de fiel inspirées par le Sans nom.

Vous dites accepter le poids des serments prêtés, et je pense que maintenant plus que jamais vous en saisissez la portée. Je resterai attentif à la bonne tenue de ces promesses, mais d'ici là, Toflegrand, Seigneur de Chamblet, ici et devant témoin j'accèpte votre allégeance et vous promets en retour protection, justice et subsistance pour vous et les vôtres.

Relevez-vous !

Puis le duc valida l'allégeance par l'accolade vassalique.

Par suite, il fit répondre à l'allégeance de Val1 puis scella le document.

Citation :: A Val1, Seigneur de Chalinargues,

Par la présente, nous, Thibaud-Xavier de Ludgarès, Duc du Bourbonnais Auvergne, déclarons accepter votre allégeance et vous assurer en retour justice, protection et subsistance pour vous et les vôtres.

Faict à Clermont le 8 août 1457

Tixlu
Duc du BA.

Après que le Duc ait accepté l'allégeance de Toff, et répondu a un courrier,Thib s'approche. Comme a chaque fois, l'angoisse d'oublier quelque chose, l'importance du moment, le monde dans la salle lui donne un coup au coeur.

- Nous, Thibantik, Dame de Cérilly, reconnaissons comme suzerain vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, duc du Bourbonnais Auvergne, élu par la grâce des urnes.

Nous vous jurons de vous apportez aide (auxilium) , conseil (consilium), respect (obsequium).

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que si un conflit venait vous opposer à sa Majesté Levan III, Roy de France, Souverain du Royaume, nous prendrions acte et faits pour notre souverain.

Voyant ensuite se présenter son amie Thibantik - que de temps jadis passé dans la tav' à Thib - Tixlu attendit qu'elle ait fini son allégeance.

Thibantik, Dame de Cérilly, nous, Thibaud-Xavier de Ludgarès, duc du Bourbonnais Auvergne, acceptons ce jour votre allégeance et vous promettons protection justice et subsistance pour vous et les vôtres.

Puis il la releva et lui offrit le baiser de la paix.

Clothilde venait de quitter son bureau d'Adjointe au Maire de Murat, et s'était rendue au galop au château de Clermont, dans l'aile dédiée au Comité des Festes du BA.
Sur son bureau, elle trouva une missive déposée par l'émissaire d'Auvergne, lui rappelant qu'il lui fallait songer à renouveler son allégeance. Pour que son ami et suzerain la relance ainsi, c'était certainement signe que la cérémonie était déjà bien avancée.

La Dame de Laveissière et de Bost courut donc dans les couloirs pour se rendre en la salle du trône.
Arrivée sur place, elle constata que la salle était déjà remplie... ses craintes étaient donc fondées.
Rouge de confusion, elle tapota sa robe, remit en place une mèche rebelle, et remonta la salle, se frayant un passage et distribuant des sourires un peu gênés de ci de là.

Un regard vers Mar.. euh vers Auvergne, accompagné d'un petit sourire.

La jeune femme s'avança vers le trône, et salua Sa Grâce Tixlu d'une belle révérence.

Votre Grâce... veuillez pardonner mon arrivée tardive, dont je suis extrêmement confuse...

Bonjour Dame chlotilde. Rassurez vous, il est encore temps, vous n'êtes pas en retard

Clothilde se releva quelques instants, juste le temps de répondre :

Je vous remercie, Votre Grâce...

Puis elle ploya genou à terre avant de dire :

Nous, Clothilde, Dame de Laveissière et de Bost, reconnaissons comme suzerain vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, duc du Bourbonnais Auvergne, élu par la grâce des urnes.

Nous vous jurons de vous apportez aide (auxilium) , conseil (consilium), respect (obsequium).

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thibauld-Xavier de Ludgarès, duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que si un conflit venait vous opposer à sa Majesté Levan III, Roy de France, Souverain du Royaume, nous prendrions acte et faits pour notre souverain.

Clothilde, Dame de Laveissière et de Bost, nous, Thibaud-Xavier de Ludgarès, duc du Bourbonnais Auvergne, acceptons ce jour votre allégeance et vous promettons protection justice et subsistance pour vous et les vôtres.

Puis il la releva et lui offrit le baiser de la paix.

La ceremonie prenait fin avec le renouvellement de l'allegeance de la dame de Laveissiere et de Bost. Marty lui avait d'ailleurs sourit lorsqu'elle s'était agenouillée devant le duc Tixlu. Le Heraut se tourna vers le régnant.

Votre Grâce, il ne manque plus qu'à l'appel Sa Seigneurie Theobald d'Azayes, dit Nakuneuil, Vicomte de Carlat. Il s'est retiré au monastère dès la fin juin. Que souhaitez vous faire ?

Auvergne, je sais helas que le Vicomte de Carlat est contraint par sa sante a vivre en reclus pour l instant, aussi ne lui en tiendrai je pas rigueur. Je sais que s il revient au monde il saura se montrer respectueux de son serment passe
Vous pouvez donc clore

hrp desole pour les accentuations, je teste mon ordi sous linux et ca me met un clavier qwerty alors qu il devrait etre azerty et j ai du mal a m y retrouver ne sachant pas retablir ca

Le Héraut hocha la tête

Fort bien, le Vicomte de Carlat est donc excusé. Je déclare la cérémonie close.

A présent, nous allons procéder aux anoblissements demandés par votre prédécesseur. J'appelle donc mesdames Androlyne et Lap.

Et pour bien être certain que lesdites futures dames de mérite se présentent dans la salle du trône, Auvergne envoya un page les quérir.

Androlyne sortait de la Chambre des Maires des dossiers sous le bras et allait reprendre la route vers Bourbon lorsqu'un page s'approcha d'elle pour lui remettre un parchemin portant le seau ducal et la signature du Héraut Marty.

Une convocation en salle du trône ... que pouvait il se passer de grave .... si'inquiéta-t-elle immédiatement.

Après les récents évenements en Bourgogne, Androlyne tremblait de voir arriver les hordes de bandits repoussés par leur voisin, d'autant plus enragés et vengeurs que la défaite avait été cuisante.

Elle confia son chargement au page afin qu'il aille le remettre à son majordome, se planta devant le grand miroir du couloir pour remettre en place sa coiffure et sa tenue et se hâta vers la salle du Trône.

Il régnait une certaine agitation et elle comprit en entendant des bribres de conversations que la cérémonie d'allégenace venait de se terminer.

Elle scruta la foule, reconnut quelques personnes qu'elle salua avant de s'approcher de Marty

Dame Clothilde, cela fait bien trop longtemps que nous ne nous sommes vues, j'espère que vous et votre belle famille vous portez tous bien lui dit-elle en l'embrassant chaleureusement, puis elle vit Thibantik qu'elle embrassa à son tour

Thib, est-ce que tu sais ce qu'il se passe ? je viens de recevoir une convocation ? ... j'espère que rien de grave ne se prépare

A peine avait elle fini sa phrase que Marty était devant elle.

Oubliant le protocole elle l'embrassa essayant de lire sur son visage souriant l'objet de cette mystérieuse convocation

Bonjour Marty, contente de te voir en forme, le mariage te va vraiment bien je trouve plaisanta-t-elle

Ta convocation était très laconique.... Rassure moi, il n'y a rien de grave j'espère

Voila bien quelques temps qu'il n'avait vu Androlyne. Son arrivée dans la salle du trône fut remarquée. Une déferlante de bises, quelques sourires distribués par ici, d'agreables oeillades par là.

Vient le tour de la bise au Héraut.

Je suis en forme en effet, je ne me porte pas trop mal pour un vieux boiteux. Sourire en coin. Tu n'as pas l'air d'aller mal, toi non plus. Je te rassure tout de suite, il n'y a rien de grave. Essaie de trouver une parade. Tu ne salues pas ton duc, Andro ? Je te conseille de mettre un genou à terre pour le saluer comme il se doit.

Aux paroles de Marty, Androlyne devient immédiatement cramoisie.

Elle se dirige vers le Duc Tixlu, dans sa précipitation à vouloir poser un genou à terre ,
elle se prend le bout de sa botte dans le bas de sa jupe et se retrouve d'un coup les deux genoux à terre.

Son regard confus croise celui du Duc alors que son corps continue sur sa lancée et sa figure écarlate se serait sans doute écrasée sur le tapis sans une main secourable la retenant de justesse de perdre sa dignité.

Reprenant son souffle et un peu contenance, Androlyne lève les yeux vers son suzerain

Je vous présente mes respects Votre Grasce, et vous prie d'excuser ma maladresse et mon arrivée un peu cavalière

Androlyne a écrit:: Dame Clothilde, cela fait bien trop longtemps que nous ne nous sommes vues, j'espère que vous et votre belle famille vous portez tous bien

Thib, est-ce que tu sais ce qu'il se passe ? je viens de recevoir une convocation ? ... j'espère que rien de grave ne se prépare

Bonjour Marty, contente de te voir en forme, le mariage te va vraiment bien je trouve

Ta convocation était très laconique.... Rassure moi, il n'y a rien de grave j'espère

Thib est contente de voir arriver son amie Androlyne, et elle se contente de lui sourire en attendant la suite.

Toujours présente après avoir prêté allégeance pour son époux, allégeance qui lui avait valu non seulement un baiser de paix, mais également d'assister à un baiser de paix peu protocolaire entre le Duc et son époux, pour son plus grand grand amusement. Elle avait d'ailleurs eut grand mal à cacher son hilarité, mais également la soudaine rougeur face à ce qu'elle considérait comme un compliment sincère de la part de Tixlu. Dorénavant en retrait elle vit arriver une Andro paniquée. Coup d'oeil interrogateur à son Auvergne d'époux, et Beths, sagement, patiemment, sans même ouvrir la bouche attendit la suite avec amusement, ses yeux allant maintenant entre Andro et le Duc, et du Duc à Andro.

Après son renouvellement d'allégeance au duché du Bourbonnais-Auvergne représenté par Sa Grâce Tixlu, et le traidtionnel baiser de paix qui s'ensuivait, Clothilde, après une nouvelle révérence, se recula et prit place dans l'assistance à l'annonce des futurs annoblissements.
Alors arriva Androlyne, dont Clothilde était heureuse que les mérites et le dévouement au Duché soient reconnus.
Après un échange de bise, la jeune femme dit à Clothilde :

Dame Clothilde, cela fait bien trop longtemps que nous ne nous sommes vues, j'espère que vous et votre belle famille vous portez tous bien

Clothilde répondit :

En effet Dame Androlyne, cela fait fort longtemps que nous ne nous sommes croisées, et je suis ravie de vous revoir !
Mes enfants vont bien, je vous remercie. Et vous-même ?

Clothilde sourit doucement, puis laissa Androlyne saluer les autres personnes... puis ployer genou devant le Duc de manière... fort peu protocolaire. La pauvre semblait bien émue.

Lanfeust avait suivit toute la cérémonie qui avait été fort longue sans compter l'échange entre Tof et le Duc, une belle joute verbale. Il serait intéressant de savoir de quoi Tof voulait parler, il n'avait pas démissionné pour rien. Enfin de toute manière, il n'était pas de cette époque, il y avait suffisamment de quoi s'occuper actuellement.

Pendant que Tixlu finissait avec Dame Clothilde, Marty envoyait des missives. La cérémonie clôturait, Auvergne appela les deux dernières dont celle qu'il attendait depuis le début avec un petit sourire. Elle avait intérêt de rappliquer sinon il irait lui même la chercher.

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