De l'Allégeance des Nobles de Merite du BA [Mai 1457]

Du beau monde était présent, comment pouvait il en être autrement au BA ?

Les allégeances continuaient leur avancement quand le faux couple de baron arriva.
Salutation, sourire et autre regard, il venait voir leur duc afin de lui prêter allégeance.

De nouvelle tête, toujours de nouvelle tête et même de nouvelle mini-tête !
Déjà qu'en chambre des nobles beaucoup d'enfant se réunissait, mais voila que d'autre apparaissait encore. Il faudra apprendre tout cela assiduement.

C'est ainsi que le duc de Lapalisse, sur un sol lisse, lançant quelques mots qui glissent, une allégeance propice, à un regard non factice, pour ninja de la miss.
Pourquoi donc ce regard ? Interrogateur ou suspcieux ?
Aurait elle enfin vu son bel air ou on dirait que quelque chose semble lui déplaire.

Ah la la, tout résonne dans sa tête on va arrêter ce massacre.

Se demandant pourquoi, elle le regardait comme ça,
Il dit en chuchotant, d'un ton bas et lent :

Un soucis en cette allégeance ?
Quelque chose n'est pas à votre convenance ?
Que puis je faire pour Wondy ?
En ce jour ou nous sommes réunit.

Voila ce que la reprenait... Y'avait des périodes comme ça ou c'était dur à controler...
Bah passons...

Sourcils qui se relèvent. Ben oui mieux vaut deux pour le coup.
Sourires suivi d’un long soupir.
La Dame des Dames se calme, le regarde.
Après tout jamais d’urgence il n’y a en ces as là. Ça change… étrange !

L’écouter. Patienter avant de lui glisser

Non aucunement, attendons mon ami. J’avais cru comprendre… mais… enfin … nous sommes en retard. De ma faute en prime !

Que de temps pour se glisser dans cette robe. Temps perdu à troquer armes contre nobles vêtements. pfff vraiment ces Dames !

Nous verrons.

Observation de tenues d’un œil combattant. Hummm…suivi d'un pfff

Vous êtes pressé de repartir sur les routes ?

Esquisser un bref sourire amusé, avant de revenir observer le ballet qui se poursuit, pourtant sure qu’un... truc cloche.
Mentalement vérifier harnachement, montures et autres… nan pas ça, alors !? késakokicloche ?

Arrivant Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 06/05/2009

Le jeune Gaspard avait été étonné. Par l'accolade tout d'abord, mais surtout par les mots du ducs. Cela signifiait - il qu'il avait connu ses parents ? Il aurait bien posé la question, mais déjà Marie Alice l'emmenait. La question restait donc en suspend. Il fut tout de même ravi de se retrouver prêt de sa sœur de cœur. Mais tout semblait vouloir accélérer. À peine Gabrielle retrouvée, que déjà ils devaient faire mouvement pour allez voir un autre homme. Gaspard ne comprit pas vraiment qui il était, sinon qu'il semblait important aux yeux de Marie Alice. À vrai dire le reste, c'était des trucs d'adultes et cela ne l'intéressait guère. Il suivit tranquillement, se demandant s'il allait voir le parrain et la grand-mère dévoilée. Il n'eut guère longtemps à attendre pour recevoir réponse.

C'est une chose de savoir qu'on a une grand-mère. Une autre de la voir devant soit pour la première fois. Gaspard ne l'avait pas vu venir et il fut étonné qu'une adulte vienne leur parler à Gabrielle et à lui. Puis se fut la révélation. Une révélation qu'il mit un temps à enregistrer. Cette femme qui se tenait devant lui était la mère de son père. Ses idées se figèrent un instant. Il était comme interdit. Puis sa langue se délia et les mots fusèrent de sa bouche.

Vous connaissiez mon papa ? Une question qui n'était pas vraiment une. La seule façon qu'il avait trouvé Gaspard pour essayer d'en savoir plus, sans pour autant oser en demander plus. Une question qu'il donnait à toutes les personnes disant connaître l'un de ses parents. Question rapidement suivi d'une autre qui dans la tête du petit était presque équivalente.

Vous êtes une chasseuse de dragon ? Moi, je veux devenir chevalier pour chasser les dragon, mais les mauvais hein ! Car les gentils c'est pas bien de les chasser. Et rapidement le petit enchaînait, laissant même pas le temps à la personne de répondre. Elle, c'est Gabrielle. C'est ma grande soeur. Y'a aussi Maeve, mais elle est pas là aujourd'hui.

Dans les yeux de Gaspard, des étincelles de joie étaient visibles, tandis qu'il regardait celle qui était sa grand-mère.

Arrivant Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 11/05/2009

Mouvements derrière elle, au loin une silhouette connue, reconnue, regard froid glissant sur elle, guère le moment là pour l'aller voir mais discussion à prévoir, léger salue de la tête, à suivre.

Une autre, s'approchant d'elle, des enfants, plus précisément de Gaspard, se présenta comme Gypsie de Viverols. Et bien voilà donc déjà une partie de la famille qui se réunissait et l'enfant de recommencer à noyer celle-ci de questions. Petit sourire naissant sur son visage, pour une fois point elle la cible de cette vague d'interrogations.

Bonjour dame Gypsie.

Petit signe à Gabrielle, lui sourire pour qu'elle ne se sentit pas mise à l'écart, recul de deux pas pour laisser l'entrevue se faire, son regard passant de Gaspard à Llyr, attendant sagement.

Un Pair agenouillé, nouveau petit sourire, un PiP à terre, elle connaissait plus d'un feudataire qui aurait le voir faire. Ah les allégeances...

Un peu perdu, ne comprenant pas bien, il remarqua un échange de regard, pas des plus agreable dirons nous.
A peine arrivée que la confusion dans son esprit est rapide, la prochaine fois il faudrait être la depuis le début pour capter chacun des messages.

Venir depuis le début... Wondy s'excuse du retard d'ailleurs.
Ce n'était pas bien grave en soi, on ne pouvait toujours faire comme on le voulez.
Et puis ces moult voyage fatiguant n'arrangent pas les choses, d'ailleurs il semble faire le rapprochement entre tixlu qui partait faire son allégeance et leur arrivé...

Pas évident de suivre, mais il croit tenir le bon bout.
Il répond donc pour rassurer la charmante dame :

Ne vous inquiétez pas, vu les circonstances il aurait été difficile d'arriver à l'heure en ces lieux.
Et il est connu que les dames mettent un temps fou à se préparer dit il en laissant échapper un petit rire très peu audible car encore dans le chuchotement entre les deux personnes.

Pour en revenir à l'allégeance, je vous invite à y aller une fois que le duc de Lapalisse aura finit.
Il semblerait qu'à notre grande misère on fasse d'après le premier venu. Il est donc tout à fait normal que je laisse une charmante et belle dame partir avant moi.

Un petit sourire pour ponctué le tout, comme sa marque de fabrique d'ailleurs mais c'était si bien fait n'est ce pas ?
Un pfff sortira accompagné d'une question.
En prime un joli sourire et la dame semble d'abord amuser avant d'être pensive...

Oh je ne suis pressé de rien, en fait ce serait un crime d'être pressé alors que je suis si bien accompagné.
Par contre ce doit être vous qui ne doit plus être habitué à ces sorties, j'espère ne pas vous dérangez en venant en votre compagnie.

C'est au tour d'un des nobles les plus titrés du duché depuis son mariage avec Galswinthe, l'ancienne Conseillère au Commerce avec qui il avait travaillé en tant que bailli. Le Duc Tixlu, aussi Pair de France s'approche et met un genou à terre.

Le Duc écoute le Duc de Lapalisse et lui répond :

Thibaud-Xavier de Ludgarès, Duc de Lapalisse, Baron d'Arfeuilles et d'Herment, Seigneur de Commières et de Saint-Saturnin, Pair de France, j'accepte en ce jour, votre Allégeance.

Puis il continue :

Votre Grâce, moi, Lanfeust de Troy, Duc du Bourbonnais-Auvergne, par la grâce des urnes, je vous assure en retour protection, justice et subsistance.

Le Duc se lève et donne l'accolade au Duc Tixlu, celui qui détenait le record de mandats ducaux au Bourbonnais Auvergne.

Le Duc retourne ensuite sur le trône en attendant la suite.

Jazon avait échangé quelques mots avec Surgeon tout en surveillant Gandelin installé sur les genoux de son frère.
Il se faisait tellement rare. Jazon l'avait très vite pris en sympathie quand ils firent connaissance au sein du clan. La mission en Bretagne, son enlèvement et sa délivrance les avaient beaucoup rapprochés. Il le considérait comme un frère alors et maintenant, il était son beau père. Curieuse, la vie !
Jazon avait l'impression que c'était d'un autre temps, d'une autre époque..... Comme ça lui manquait !

Puis la femme qui était entrée avec les deux enfants s'avança vers le duc seulement accompagné du petit garçon. Elle venait porter allégeance ? Pour qui ? Cet enfant ?

Bonjour Votre Grasce. Je suis ici pour prêter allégeance non en mon nom mais en celui de ce petit garçon, Gaspard de Nerra - Viverols

* Gaspard ?! Le fils d'Apo et d'Alayn ? *

Il tourna la tête vers Gypsie qui le regarda. Il lui fit un tendre sourire.
Elle qui avait été si malheureuse par la disparition de son fils et l'éloignement de son petit fils. C'était une belle occasion de nouer enfin des liens avec cet enfant.

Après l'allégeance, Gypsie lui lança de nouveau un regard et il la vit se diriger vers Gaspard.
Il lui laissa quelques minutes pour un premier contact personnel puis il s'excusa auprès de Surgeon, lui confiant Gandelin et se rendit auprès de Gypsie et de son petit fils.
Il avait envie de connaitre cet enfant, le fils d'Apo, une amie partie bien trop tôt.

Il fit un léger salut de la tête à la femme qui parlait un peu plus loin et regarda, un sourire sur les lèvres, ce petit garçon parler de dragon à sa grand mère.
Bonjour chevalier Gaspard....
Je me nomme Jazon et j'ai bien connu ta maman. Nous avons combattu des dragons ensemble.

Thib est restée clouée sur place en entendant la jeune femme annoncer pour qui elle vient prêter allégeance.

Gaspard, fils d'Apo et d'Alayn ! Le petit fils de Gypsie et d'Odin ! A la pensée d'Odin, son cœur se serre en repensant a Zérou . . . souvenirs . . .

Jason, la voyant perdue dans ses pensées, lui fait signe que Tixlu s'est relevé et que la place est libre. Tout en reprenant ses esprits, elle se dirige vers le trône ducal.

- Nous, Thibantik, Dame de Cérilly, reconnaissons comme suzerain vous, Lanfeust de Troy, duc du Bourbonnais Auvergne, qui fut élu par la grâce des urnes.

Nous vous jurons de vous apportez respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium).

Que si un conflit venait vous opposer vous, Lanfeust de Troy, duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que si un conflit venait vous opposer à sa Majesté Levan III, Roy de France, Souverain du Royaume, nous prendrions acte et faits pour notre souverain.

Puis, ayant malgré tout, toujours peur d'avoir oublié quelque chose, elle attend la suite

A peine eut il finit avec Tixlu que la Dame de Cérilly approcha, ancienne Prévôt du BA et surtout connue aujourd'hui pour être une des nantis du duché pouvant construire un hôtel particulier.

Le Duc écoute la Dame de Cérilly et lui répond avec un sourire :

Thibantik, Dame de Cérilly, j'accepte en ce jour, votre Allégeance.

Puis il continue :

Dame Thibantik, moi, Lanfeust de Troy, Duc du Bourbonnais-Auvergne, par la grâce des urnes, je vous assure en retour protection, justice et subsistance.

Le Duc se lève, aide Dame Thibantik à se relever et lui donne le baiser vassalique.

Le Duc retourne ensuite sur le trône, perpétuel mouvement...[/quote]

Grande gueule Nombre de messages : 74 Date d'inscription : 18/10/2005 Niveau:

Eridan regardait les enfants. Gandelin et Gaspard représentaient l'avenir. Il eut une pointe de regret en se disant qu'il n'avait pas d'héritier et que la baronie allait revenir au duché à sa mort, mais ainsi va la vie...

La cérémonie touchait à sa fin, c'était une des plus belles qu'il ait pu voir, il était heureux de constater la puissance de son duché, dommage que tout le monde n'avait pas la même vision.

Il se leva et salua sa mère. Puis il partit doucement, voulant éviter la cohue de la fin. Il regarda une dernière fois la salle, en se disant que tout avait vraiment changé depuis son arrivée en Bourbonnais Auvergne, à l'époque de Don Vasco et du grand Marlaeauvergne.

Il franchit enfin le seuil du chateau pour la dernière fois...

Clothilde qui avait attendu sagement son tour, se dirigea vers le trône ducal.
Elle ploya le genou, puis dit d'une voix claire :

Nous, Clothilde de Saint-Nicolas-les-Colombes, Dame de Laveissière et de Bost, en notre nom et en celui de notre époux Delvechior de Saint-Nicolas-les-Colombes, Seigneur de Laveissière et de Bost,
renouvelons ce jour notre allégeance au Bourbonnais Auvergne à travers son duc légitime Lanfeust86.

Nous lui jurons donc auxilium, obsequium et consilium.

Ce fut au tour d'une dame qu'il appréciait pour son travail au comité des fêtes du duché. Dame Clothilde était respectée de tous et son travail pour animer le duché était...parfait.

Le Duc écoute Dame Clothilde et lui répond avec un sourire :

Clothilde de Saint-Nicolas-les-Colombes, Dame de Laveissière et de Bost, j'accepte en ce jour, votre Allégeance ainsi que celle de votre époux.

Puis il enchaîne :

Dame Clothilde, moi, Lanfeust de Troy, Duc du Bourbonnais-Auvergne, par la grâce des urnes, je vous assure en retour protection, justice et subsistance.

Le Duc se lève, aide Dame Clothilde à se relever et lui donne le baiser vassalique.

C'est un grand plaisir que d'accepter votre allégeance Dame Clothilde.

Le Duc retourne ensuite sur le trône se demandant combien il restait de nobles.

S’asseoir puis se relever.
Il lui avait proposé de se présenter en premier, mais perdue dans ses pensées, la Dame s’était prise à rêver.
Penser au temps ou Auvergne… Penser au temps ou sa famille…
Se rassoir puis… non… non ! ne pas se relever. Non, cette fois ci, elle attendrait vraiment. Après tout ou était l’urgence ?

Quoi que ! HaHaaa un espace… Etait ce l’heure ? l’heure de s’avancer vers le Duc ?

Un regard vers le Doyen.
Un autre vers le Duc et Dame Chlothilde.
Plus d’hésitation. Se lever lentement, l'inviter à la suivre d'un signe de la tête tout en vérifiant d’un coup d’œil au dessus de son épaule que la place n’est pas déjà réservée. S’avancer enfin vers le régnant.

Grillé sur le fil par Wonder... Le vieux prélat, qui avait actuellement bien du mal à tenir debout sans sa crosse épiscopale, voyait les nobles s'avancer tour à tour pour prêter allégeance. Hum, il pensa un instant à jouer de la crosse, brassant l'air pour attirer l'attention. Que nenni, le geste serait des plus déplacés. Aussi prit il son mal en patience, fort amusé par la situation, et songeant à une ruse pour se frayer une place près du Duc à la suite de sa cousine... Ah, que les temps étaient dur.

Il lui propose de partir voir le duc pour l'allégeance, elle ne semblait pas vouloir l'écouter et était soudainement innaccessible par le commun des mortels.
Dans ses pensées surement, des souvenirs de cet endroit ou qui sait d'autre moment, il regarda alors sa filleule partir prêter allégeance.
Un petit coucou vers sa direction, il écouta la suite de la cérémonie.

Clo qui finit, et soudainement un regard de Wondy vers sa personne.
Interrogative, s'est elle décidé à prêter allégeance ?On dirait.
Elle se lève lentement, il lui adresse un sourire lorsqu'elle l'invite de la tête à la suivre ?

Pas bien compris, elle voulait lui dire quelque chose ?
Il se lève alors à son tour quand elle s'avance vers le régnant...
Bon bah il avance quelque peu mais pas trop histoire de pas croire qu'il essaye de la dépasser pour faire l'allégeance pensa t-il en riant intérieurement.

Il l'a suivit donc avec le sourire, mais se mettra un peu en retrait une fois qu'elle s'approchera du trône.
Se disant d'ailleurs qu'il faudra pas qu'il retourne s'assoir après mais qu'il fasse aussi l'allégeance, il pourrait bien oublier devant de si belle émeraude.

Un regard à droite, un autre à gauche, pas de concurrent dans la dernière ligne droite. Quoi qu'un léger mouvement à peine perceptible de la part de son cousin. Le Doyen veille.
Calmement, s'approcher et arrivée devant le Duc, elle s'incline avec respect puis pose un genou à terre pour prononcer le rituel serment.

Nous, Wonderanny d'Azayes, reconnaissons comme suzerain, vous, Lanfeust de Troy, duc du Bourbonnais-Auvergne, qui fut élu par la grâce des urnes.

Nous vous jurons de vous apportez aide (auxilium) , conseil (consilium), respect (obsequium).
Que si un conflit venait vous opposer vous, Lanfeust de Troy, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous. Cependant, si un conflit venait vous opposer à sa Majesté Levan III, Roy de France, Souverain du Royaume, nous prendrions acte et faits pour notre souverain.

Elle relève alors le regard et rajoute doucement

Mes félicitations.

A présent la rituelle interrogation... Il n'y avait plus qu'à attendre ! baiser ou l'accolade ?

Enfin...voilà une de celles dont il attendait impatiemment l'allégeance, non pas pour la voir plier le genou, mais pour la voir tout court. C'est qu'elle se faisait rare la Nanny...Enfin la baronne Wonderanny. Le baron de Glénat était pas loin derrière lui laissant la place par courtoisie. Il regarde Wonderanny approchait et lui sourit.

Le Duc l'écoute avant de lui répondre :

Wonderanny d'Azayes, Baronne de Veauce, Dame de Mauzun et de Loubeyrat, chère amie, j'accepte avec un grand plaisir, en ce jour, votre Allégeance.

Puis il enchaîne :

Baronne Wonderanny, moi, Lanfeust de Troy, Duc du Bourbonnais-Auvergne, par la grâce des urnes, je vous assure en retour protection, justice et subsistance.

Le Duc se lève, aide Wonderanny à se relever et lui donne le baiser vassalique tout en lui soufflant quelques mots.

Quel plaisir de vous voir et merci pour les félicitations.

Le Duc retourne ensuite sur le trône, s'attendant à l'allégeance de Ninja.

La cérémonie suivait son cours. Visiblement c'était au tour du Baron de Glénat mais il tenterait de passer ensuite il avait beaucoup de choses à faire en d'autres lieux.

Arrivant Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 12/05/2009

Gabrielle sentit Gaspard relâcher sa main pour se diriger avec Marie Alice vers le duc. Elle resta là, rassurée de ne pas les suivre et elle sourit lorsque Marie lui fit la remarque de ne pas bouger. De toute manière où diable pouvait-elle aller ? Elle ne connaissait personne et tout ce monde ne l’aidait pas à se mettre à l’aise.

Elle assista de loin à la scène, elle était fière de Gaspard et se retient de rire lorsque Gaspard reçu l’accolade du Duc.

Ils étaient à nouveau réunis, elle comprit tout juste les explications de Marie Alice au sujet d’un Llyr, juste le temps de faire un mouvement de tête en signe d’affirmation, que sa main était dans la sienne pour prendre la direction du sieur.

Nouvel arrêt, sourire à son frère, puis l'arrivée d'une femme, inclinaison de la tête pour saluer la grand-mère de Gaspard. Pas le temps de se présenter, son petit frère s’en était chargé.

Bonjour dame Gypsie.

Gabrielle tenait toujours la main de Marie Alice, elle se recula en même temps que celle-ci pour les laisser faire connaissance. Elle posa son regard vers Marie.

Marie ? Maeve, Aleanor et moi, on devra faire pareil chez nous ?

Pas très loin de Wondy, il se préparait à préter allégeance.
Il écouta alors attentivement les paroles du duc et de la baronne, semblant entendre quelques chuchotements surement du à la même appartenance politique, enfin supposa t-il.
D'ailleurs, comme pour d'autre, il semblerait que la baronne n'est toujours pas assimilé les termes exacte de l'allégeance. Un petit grincement de dent, de toute façon même si on le leur répété ils ne s'adapteraient pas alors à quoi bon...

Genou ployé, baiser vassalique, Wondy s'écarte et fait marche arrière pour lui laisser la place pendant que le duc retourne sur son trône.
Un petit sourire pour la baronne, il s'avance alors à son tour devant le duc et le héraut.

Allégeance classique, il reste donc bien droit pliant son genou tout en restant comme à l'accoutumée debout.
Maintient de l'équilibre parfait, il plie l'autre lentement afin de mettre le genou ployé à terre.

Prêt à faire son allégeance, il attend l'arrivée du duc.
Une fois fait, Ninja dit d'une voix haute et forte :

Moi, le Baron Doyen Docteur Ninjaturtel de Glénat, remercie le duché de lui avoir octroyé fief et vous reconnais vous Lanfeust comme notre Suzerain.

Moi, le Baron Doyen Docteur Ninjaturtel de Glénat, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure fidélité.

Moi, le Baron Doyen Docteur Ninjaturtel de Glénat, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure aide et service armé.

Moi, le Baron Doyen Docteur Ninjaturtel de Glénat, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure conseil.

La baronne s'éloigne et c'est au baron de Glénat, le volubile comme l'appellait Alivianne, de s'approcher. Il le fit avec grâce, un vrai noble, il avait ça dans la peau...D'ailleurs un peu trop des fois...

Le Duc écoute les paroles du Baron en tiquant sur ses titres qui le firent sourire. Il lui répondit donc :

Ninjaturtel, Baron de Glénat...Doyen et Docteur, j'accepte en ce jour, votre Allégeance.

Puis il enchaîne :

Baron Ninjaturtel, moi, Lanfeust de Troy, Duc du Bourbonnais-Auvergne, par la grâce des urnes, je vous assure en retour protection, justice et subsistance.

Le Duc donne ensuite l'accolade au baron et il retourne ensuite sur le trône.

L'allégeance venait d'être faite, il restait plus qu'au duc à répondre.

L'échange de serment se passa alors sans difficulté voyant d'ailleurs que lanfeust n'avait pas choisit la même façon de boucler le protocole que favdb à l'époque.
Ninja reçut donc l'accolade tout en glissant à voix basse des félicitations et une bonne continuation pour le mandat.

Il partit alors rejoindre Wondy afin de laisser sa place à d'autre.

Au moins un point commun avec Gandelin, Gaspard parlait lui aussi de chasse. Mais ils ne chassaient pas la même chose tous les deux. Qu'importe, l'un expliquerait à l'autre sa manière et les montres qu'il chassait et tuait bien sur.

Juste le temps de lui répondre dans l'affirmative, oui, elle avait bien connu son père, que Jazon arrive, heureux lui aussi de faire la connaissance du fils de son amie Apolonie. Par chance, Jazon sait chasser les dragons et Gypsie les laisse en parler, s'adressant alors à la tutrice du jeune de Nerra.

Bonjour Dame Marie Alice. J'espère que vous avez fait bonne route et que vous vous plaisez en Auvergne. Si jamais vous passez par Clermont, il nous serait agréable, à mon époux et moi même, de vous recevoir en notre demeure. Nous pourrions ainsi faire plus ample connaissance, et ces jeunes garçons pourraient aller chasser les dragons ensemble.

Un regard plein de tendresse aux jeunes Viverols, du même âge tous les deux, et sans doute plein de choses à se raconter.
Pendant ce temps, les allégeances se poursuivent et Gypsie sourit en entendant les " moi moi moi moi " du baron de Glénat.

Arrivant Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 11/05/2009

Marie, silencieuse, observait les retrouvailles familiales, s'étant mis presque inconsciemment en retrait, incertaine de sa place ou de ce qu'elle devait faire.

Tutrice, sacré cadeau que lui avait fait là Apolonie, sacrés tourments aussi, tant de questions soulever, virevoltant sous ses lourdes boucles brunes que sous celles de Gaspard. Saurait-elle être à la hauteur, pourrait-elle toujours trouver les mots, ceux qu'il fallait pour qu'il grandisse bien, ceux qu'il fallait pour qu'il sache ce qu'il devait? Lui raconter sa mère, ce qu'elle en connaissait, lui faire rencontrer ses amis, du moins en partie, parce que pas certain qu'elle puisse, veuille, les voir tous. Pensées s'entrechoquant, tant de possibilités, tant de routes. Et si elle se trompait? Si, contrairement à ce que pensait la moulinoise, elle n'y arrivait point...

Nouvelle silhouette, vue au mariage également, mais ailleurs aussi lui semblait-il. Mais tellement de gens croisés que parfois cela lui en donnait le tournis. Valse de noms et de visages. Interrompue par la voix de Gabrielle.

Si vous devrez faire cela? L'allégeance? Non parce que c'est à ton père et à moi de le faire dans chacun des cas. Là je le fais, parce que Gaspard est trop petit pour le faire lui et que ni son papa ni sa maman ne sont plus là.

Sourire à la fillette, caresse sur la joue. Dieu qu'ils grandissaient vite...

Tête tournée vers Gypsie pour répondre.

Bonne route, en effet, je vous remercie. Je connais l'Auvergne, j'y fus en partie élevée.

Pour l'heure nous ne sommes que de passage, un voyage est prévu et peut-être pourrons-nous passer au retour vous voir. Je vous remercie en tout cas pour l'invitation. Mais je vous préviens, nous sommes une véritable petite troupe, composée de plusieurs enfants.

Et vous viendrez nous voir en Bourgogne, il va falloir baptiser ce jeune homme.

Sourire à Gaspard.

Lanfeust attend patiemment que d'autres nobles viennent prêter allégeance, étaient ils tous passés? Il lui semblait qu'il en manquait et surtout Modsognir qui n'était pas encore arrivé.

Le Duc se tourne vers le héraut Lllyr pour lui poser une question tout bas.

Qui reste-t-il pour les allégeances à part Modsognir ?

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