[RP] Allégeance de la Noblesse de mérite [Novembre 1457]

Petitrusse regarde Auvergne.

Je vais procèder au premier venu. Car avec cette guerre, les nobles sont pas tous en Bourbonnais Auvergne. Cela permettra aux plus éloignés d'avoir le temps de revenir pour allégence avant la fin du mandat de ce Conseil Ducal.

Le héraut hocha la tête, c'était sans doute la meilleure solution.

A votre convenance Votre Grâce.

Or Oyez ! Or Oyez ! Or Oyez !
Gentes dames et nobles seigneurs
Ce jour, par moi et pour le Duc du Bourbonnais-Auvergne Messire Petitrusse, vous ouvrons cérémonie d'allégeance de la noblese du Bourbonnais-Auvergne. Je rappelle quelque point de protocole afin que cette cérémonie se passe au mieux possible et dans le meilleur esprit.

Les nobles doivent l'allégeance à la province en laquelle tiennent leur fief. Adoncques ils vont par-devant le duc régnant en ladicte terre, lequel, ayant été élu et ayant recognu le Roy nostre seigneur comme son suzerain légitime, les accueille et reçoit leur hommage.

Les nobles jurent à la province, en la personne du duc/comte, fidélité (obsequium), aide et service armé (auxilium) et conseil (consilium).

En contre partie le duc/comte leur accorde, pour la durée de son règne, protection, justice et subsistance. Il leur accorde subsistance en leur accordant fief, à eux et à leur descendance, ou en ne leur retirant pas fief déjà accordé.

L'allégeance est cérémonie publique et obligatoire pour tout vassal possédant fief. Elle est scellée par le baiser de paix ou accolade vassalique, et vaut contract.

Si pour une raison ou une autre un noble ne peut se déplacer parsonnellement, il peut faire missive d'allégeance tant que celle ci soit scellée, datée et signée de sa main.

Sa Grâce Petitrusse a émis le souhait de procéder au premier venu. Vous êtes ainsi appelés à venir ployer le genou et renouveller votre serment d'allégeance à la Couronne ducale du Bourbonnais-Auvergne représenté par son régnant.

HRP
Petits Rappels des Regles concernant l'Allégeance des nobles d'une province

La Cérémonie dure 1 journée RP, 1 Mois Temps Reel => le RP commence donc le 6 novembre, la cérmonie sera close le 6 décembre
Les Nobles du Bourbonnais-Auvergne se doivent à l'allégeance sous peine de dérogeance, soit de vive voix soit en Missive (datée, signée, scellée)
Ils doivent Aide, Conseil, et Protection. En contre partie le régnant leur devra Susbistance, Aide et Justice. Le contrat étant scellé par l'accolade vassalique et/ou le baiser de Paix. Attention l'allégeance se fait à deux, on ne dit pas "et en échange le duc du Bourbonnais-Auvergne me doit...", le Régnant serait en droit de refuser l'allégeance et de la faire recommencer.
La cérémonie se déroulera selon la demande du régnant (présséeance ou au premier venant)
Par soucis de réalisme par la peine d'enchainer les allégeances, une allégeance c'est un vassal et le régnant qui lui répond, donc pour un peu plus de réalisme c'est chacun son tour et pour les missives d'empechement soit vous les envoyez soit au régnant qui me les fera suivre pour témoignage soit c'est à moi et je ferai un tir groupé final de presentation des missives
Les Missives d'appel à Allégeances ont été envoyées afin que tous les nobles de merite soit au courant de la cérémonie.
Bon RP...

/HRP

Ivrel revenait de son bureau à l'évêché où elle avait entendu un pêcheur, ayant reçu convocation de la part d'Auvergne, elle avait laissé l'homme au main de son secrétaire qui lui expliquait le comportement adéquat d'un fidèle en présence de religieux et dans des lieux consacrés... elle arriva au moment où le duc, son ami de longue date, Messire Petirusse, indiquait à Auvergne ses souhaits quant au protocole de la cérémonie.
Comme personne ne semblait vouloir s'avancer en premier, elle se décida. Elle s'avança près du trône, ploya un dos arthritique en direction du trone ducal et et prononça le serment rituel, habituel et formel.

Par la grâce de Christos le Sage,
Nous, Ivrel, Dame de Tournoël en Bourbonnais-Auvergne, à vous, Petitrusse, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes,

Par la présente, nous vous reconnaissons comme suzerain et affirmons haut et fort devant cette assemblée que nous vous devons désormais fidélité (obsequium), aides, services(auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Petirusse, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à Sa Sainteté Eugène, souverain pontife, nous jurons que nous prendrions cause pour lui.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Petirusse, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Que Dieu garde notre bien aimé duché, le Bourbonnais-Auvergne !

La dernière phrase était sortie toute seule de ses lèvres, mais elle priait pour que les soldats rentrent vite chez eux auréolés de la gloire de la victoire. Elle se redressa alors, puis elle attendit la réponse du duc...

Le Duc regarda son amie Ivrel pour la voir se baisser. Elle paraissait fatiguée.

Ivrel, Dame de Tournoël en Bourbonnais-Auvergne, nous, Petitrusse, seigneur de jaligny, Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes, acceptons ce jour et devant témoins votre allégeance et vous assurons en retour justice, protection et subsistance pour vous et les vôtres.

Puis il s'approcha et scella le contrat par une accolade vassalique.

Il lui chuchota ensuite: Tu pourrais préparer la bénédiction du Conseil dans les prochains jours?

Avant de laisser place et de se reculer, Ivrel répondit à la question à voix basse.

Bien sur, avec joie. Je vois avec ton secrétaire pour la date et l'heure exacte.

Je te remercie Ivrel.

Petitrusse regarde le Cardinal partir.
Il profite d'un moment de calme pour se servir à boire.

Laissant son verre à un page, la duchesse alla vers le duc du BA qui se dirigeait vers le buffet et les brevages. Elle eut une délicieuse idée. Et d'une voix un peu forte et froide elle dit :

Vous avez le temps de boire un coup, mais sachez que je vous attends à votre trône. Ne me faites pas trop attendre tout de même.

J'ai bon coeur, je sais que la journée sera longue donc autant prendre le temps d'un verre...

elle lui sourit... pour lui montrer qu'elle le taquinait

mais un verre, pas plus car petit conseil d'amis.. si vous en prennez trop et trop vite cela vous montrera à la tête et cette cérémonie ô combien trop officielle deviendra une partie de rire... quoique ça ne sera pas plus mal finalement.

La duchesse lui fit un clin d'oeil complice et taquine et s'en alla devant le trône et attendit patiemment que petitrusse se présenta devant elle afin de reprendre la prestation d'allégeance.

Le Duc rougit légèrement, termine son verre et retourne sur le trône. Il s'installe et regarde Alivianne.

Je suis à vous Duchesse Alivianne.

Elle devenait une habituée... chaque 2 mois même rengaine, nouveau duc, retour d'un ancien, même tête de noblesse, quelques nouveaux qui s'ajoutaient. Heureusement, elle était arrivée en premier, heureusement cela n'allait pas durer trop longtemps pour elle.

La duchesse suivit du regard le duc qui reprit sa place.

Elle alla s'agenouiller devant lui et dit d'une voix solonelle, forte et claire

Nous, Alivianne d'Azayes, duchesse de la tour d'Auvergne et d'Argenton, Pair de France, chevalier de France, vous reconnaissons vous Petitrusse, actuel duc du bourbonnais auvergnat, élu par la grâce des urnes comme suzerain.

Par ce fait; nous vous devons désormais fidélité (obsequium), aides et services armés (auxilium) et conseil (consilium).

Elle reprit sa respiration, et elle replaça une couette qui s'était détaché de ses tresses derrière son oreille et ajouta sur le même ton.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Petitrusse, Duc du bourbonnenais auvergnat, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous. Ceci, à l'exception d'un conflit contre le suzerain des terres de mon époux se trouvant dans le duché du Berry, le duché d'Argenton. A cette occasion, la neutralité vous sera demandé à mon égard afin de ne favoriser aucune des parties au conflit.

Que si un conflit venait à vous opposer vous Petitrusse, duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à Sa Majesté, Lévan III de Normandie, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui et le Royaume de France. Qu'ainsi, si vous vous opposez à la décision du Roy, ou même à ses principes et valeurs, nous vous soutiendrons pas dans vos actes. Jamais acte ne sera commis contre Sa Majesté

Elle avait changé un peu, quelque variante, ainsi cela la changeait de la routine. La duchesse attendit la suite, c'était au duc de répondre. D'autres attendaient et on commençait à voir une file de profilé derrière elle.

Le Duc écouta la Duchesse de la tour d'Auvergne et d'Argenton. Sa déclaration était un peu plus longue que les premières, mais cela était justifié.

Alivianne d'Azayes, Duchesse de la tour d'Auvergne et d'Argenton, Pair de France, chevalier de France, nous, Petitrusse, seigneur de jaligny, Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes, acceptons ce jour et devant témoins votre allégeance et vous assurons en retour justice, protection et subsistance pour vous et les vôtres.

Il s'approcha et scella le contrat par une accolade vassalique.
Il retourna ensuite sur son trône, pour écouter l'allégance du prochain noble.

La Duchesse Alivianne venait de recevoir l'accolade du Duc qui scellait l'Allégeance, Natafael regarda alors autour d'elle et ne voyant persone bouger, se dit qu'elle pouvait à son tour s'avancer.
Elle lacha la main de Valexan et lui fit un sourire avant de se diriger vers le trône.

Inclinant la tête respectueusement, la Vicomtesse mit un genou à terre, puis relevant son regard vers le Duc elle prit parole

Nous, Natafael, Vicomtesse de Salers, prêtons en ce jour allégeance au Duché du Bourbonnais-Auvergne pour le fief de Salers.
Ainsi nous vous reconnaissons Vous, Petitrusse, comme légitime Duc du Bourbonnais Auvergne.

Votre Grasce, je vous jure de vous apporter aide (auxilium), conseil (consilium) et respect (obsequium).

Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose à un tiers nous prendrions cause pour vous et le Bourbonnais Auvergne.
Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose vous, Petitrusse, à sa Majesté Levan III, Roy de France, Souverain du Royaume, nous prendrions cause pour notre Souverain.
J’affirme mon hommage lige pour Sa Majesté, mon Souverain, envers qui mon engagement est entier et premier.

Nata attendit la réponse de Petitrusse

La Vicomtesse de Salers, enfin Nata, avançà vers lui. Il se remémora un instant tous les moments passés avec elle, les bons comme les mauvais. Joie et tristesse pouvait se lire sur le visage du Duc.

Il écouta Natafael puis répondit:

Natafael, Vicomtesse de Salers, nous, Petitrusse, seigneur de jaligny, Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes, acceptons ce jour et devant témoins votre allégeance et vous assurons en retour justice, protection et subsistance pour vous et les vôtres.

Il s'approcha, hésita sur le geste à faire puis décida de sceller le contrat par une accolade vassalique.

Il profita de cet instant pour lui chuchotter: Merci d'être toujours là pour moi, malgré mon sale caractère.

Puis recula d'un pas.

Présente depuis les préliminaires, Karox s’avança. Anxieuse, la démarche hésitante, elle parvint à une foulée de sa Grâce. Le genou ployé à terre, elle prêta allégeance à son tour...

Nous, Karox, Dame de Montvicq, nous présentons à vous, Vostre Grasce, Petitrusse, Seigneur de Jaligny, en ce XIème jour du mois de Novembre, afin de renouveler nostre serment d'allégeance au Duché du Bourbonnais-Auvergne.

Nous reconnaissons comme suzerain vous, Petitrusse de Jaligny, Duc du Bourbonnais par la grasce des urnes,

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Petitrusse de Jaligny, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour nostre Roy.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Petitrusse de Jaligny, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

FaVdb arriva dans la salle du trône, les allégeances avaient déjà commencé. Rejoignant les sièges disposés pour les conseillers ducaux, mais ne s'assied pas, prêt à tout instant à se rendre auprès des armées en ordre de marche.

Thib en allant a la cérémonie d'annoblissement de son ami Balian, fait un crochet par la salle du trône. Elle jette un coup d'oeil discret par la porte.... Les allégeances on commencé et il y a pas mal de monde, elle pourra revenir dans la journée

Pierre se lève à son tour et se dirige vers Petitrusse, s'inclinant légèrement, il presta serment.

Pierre s'avance vers le nouveau Duc

Par la grâce d'Aristote,
Moi, Pierre de Roanne d’Azayes, Duc de Roanne, Baron de Pierrefort

A vous, Petitrusse, nouveau Duc du Bourbonnais Auvergne.

Salut.

Par la présente, je vous reconnais comme suzerain , Petitrusse, Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes.

Que je vous dois désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à vous opposer, Petitrusse, Duc du Bourbonnais Auvergne, nostre suzerain, à un tiers, je jure que je prendrais cause pour vous.

Que si un conflit venait à vous opposer, Petitrusse, Duc du Bourbonnais Auvergne, nostre suzerain, à notre Roy, je jure que je prendrais cause pour lui.

Puisse la bête sans nom m'offrir une mort atroce plutôt qu'avoir un jour à trahir mon serment.

Il attendit avec patience la réponse du Duc

Dame de Montvicq, avançà vers lui. Il ne connaissait pas beaucoup cette grande dame, mais apprenait à la connaitre un peu plus, chaque jour, en tant que Nantis comme lui.

Il écouta Karox puis répondit:

Karox, Dame de Montvicq, nous, Petitrusse, seigneur de jaligny, Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes, acceptons ce jour et devant témoins votre allégeance et vous assurons en retour justice, protection et subsistance pour vous et les vôtres.

Il s'approcha et scella le contrat par une accolade vassalique.
Il décida de rester debout, vu que d'autres nobles étaient là, pret a s'avancer vers lui.

Pierre de Roanne d’Azayes s'avançà. Il laissa guere le temps à Dame Karox de se relever et de se retirer. Le Duc en fut très surpris, voir déçu pour la Dame.

Il écouta puis répondit:

Pierre de Roanne d’Azayes, Duc de Roanne, Baron de Pierrefort, nous, Petitrusse, seigneur de jaligny, Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes, acceptons ce jour et devant témoins votre allégeance et vous assurons en retour justice, protection et subsistance pour vous et les vôtres.

Il s'approcha et scella le contrat par une accolade vassalique puis recula pour laisser la place au Baron de se relever et laisser la place aux nobles qui attendaient.

D'habitude toujours dans les premiers arrivés, Gypsie avait pris son temps pour venir à la cérémonie d'allégeance. Le temps de se remettre de l'annonce qu'on venait de lui faire, la gravissime blessure de son époux, tombé à Bourges. Le temps qu'on vienne l'assurer que le Vicomte de Ravel, cette vilaine sentinelle, se remettrait de ce choc violent.

En colère la rectrice en arrivant devant la salle du trône. Jette un regard furieux au garde qui se tient là, encore plus furieux à son voisin, tente de se calmer avant d'ouvrir la porte. Respire, respire Gypsie... Viendra bien le temps de leur dire à tous, mais pas aujourd'hui.

La robe bleue est restée au placard, aujourd'hui sa tenue est noire, comme son humeur. Comme ses pensées qu'elle a envie de crier la rectrice. Pas nombreux ceux qui ont assisté à tel spectacle, mais ils s'en rappellent tous.

Entre discrètement dans la pièce, salue les amis présents, observe Karox qui s'éloigne du trône, et Pierre de Roanne qui va bientôt en faire autant, selon les dernières paroles prononcées par le Duc.
Discrète, Galswinthe est là, Gypsie va la rejoindre, la salue en attendant la suite.

Personne ne semble vouloir venir. Val1 regarde l'assemblée immoblie et s'avance donc vers le duc. Une saluation et le genou est posé à terre.

Nous, Val1, seigneur deChalinargues, prêtons en ce jour allégeance au Duché du Bourbonnais-Auvergne.
Ainsi nous vous reconnaissons Vous, Petitrusse, comme légitime Duc du Bourbonnais Auvergne.

Votre Grasce, je vous jure de vous apporter aide (auxilium), conseil (consilium) et respect (obsequium).

Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose à un tiers nous prendrions cause pour vous et le Bourbonnais Auvergne.
Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose vous, Petitrusse, à sa Majesté Levan III, Roy de France, Souverain du Royaume, nous prendrions cause pour notre Souverain.
J’affirme mon hommage lige pour Sa Majesté, mon Souverain, envers qui mon engagement est entier et premier.

Il regarda le duc en attendant la réponse de clui-ci.

En pleine période de conflit, Ninja avait reçu une lettre de la part d'un de ses serviteurs. Celui ci lui confiait qu'ils avaient reçu une lettre toute joli avec un seau dessus et qu'il attendait de savoir ce qu'ils pouvaient faire avec.

Ninja leur répondit qu'il pouvait la faire ouvrir par Mikel En-Jelo, son fidèle serviteur en qui il avait toute confiance.
Celui ci fit son boulot et renvoyé une missive expliquant à son maitre qu'il s'agissait de l'allégeance...

Arf, pouvait pas mieux mal tombé ça !
Les combats approchaient et Ninja prit la peine de rédiger :

Citation :: Par la grâce d'Aristote,
nous, Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel", humble baron de Glénat en Bourbonnais-Auvergne,

à vous, Petitrusse, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes,

vous saluons.

Je tiens mon ami à vous présenter mes excuses pour ne point avoir la chance d'assister en cette cérémonie d'allégeance, retenu sur les terres du Berry, je tarde quelque peu à vous répondre n'ayant pas reçu le courrier directement du fait de mon éloignement.

C'est pourquoi, si tu l'acceptes je t'envoie cette missive. En espérant que la guerre soit un succès et que le poilu ne le soit plus, je te présente mes félicitations et une bonne continuation pour ce mandat.

Passons maintenant au protocole :

Moi, le Doyen Docteur Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel" Baron de Glénat, remercie le duché de lui avoir octroyé fief et vous reconnais vous Petitrusse comme notre Suzerain.

Moi, le Doyen Docteur Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel" Baron de Glénat, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure fidélité.

Moi, le Doyen Docteur Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel" Baron de Glénat, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure aide et service armé.

Moi, le Doyen Docteur Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel" Baron de Glénat, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure conseil.

Pour que l'autorité de notre allégeance obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

En espérant que celui ci sera le plus adapté à la situation.

nous Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel", humble baron de Glénat en Bourbonnais-Auvergne, a écrit et ratifié, en ce VI jour du mois de novembre.

Mes félicitations et la bonne continuation encore.

Val1, seigneur deChalinargues salua le Duc et posa un genou à terre.

Le Duc écouta l'allégence de Val1. Il l'avait tout d'abord connu à la maréchaussée, puis au sein de Conseil Ducal, surement lors de son premier mandat. Cela remontait bien loin.

Val1, seigneur deChalinargues , nous, Petitrusse, seigneur de jaligny, Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes, acceptons ce jour et devant témoins votre allégeance et vous assurons en retour justice, protection et subsistance pour vous et les vôtres.

Petitrusse attendit que Val1 se relève pour lui faire une accolade.

Le Seigneur de Chamblet était a Bourges et ne pouvait etre présent a la salle du trone pour preter allégeance au Duc Petitrusse il fit achemniner une missive au Chateau et une autre a Auvergne au cas ou un berrichon affamé lui tue ses fideles pigeons.

Citation :: Par la grâce d'Aristote,
nous,Toflegrand, humble Seigneur de Chamblet en Bourbonnais-Auvergne,

à vous, Petitrusse de Jaligny, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Petitrusse de Jaligny, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais fidélité (obsequium), aides et services armés (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Petitrusse de Jaligny, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Petitrusse de Jaligny, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous Toflegrand, humble Seigneur de Chamblet en Bourbonnais-Auvergne, a écrit et ratifié,

En la ville de Bourges le 7eme jour du 11eme mois de l'an de grace 1457
Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

Val1 se releva, reçut l'accolade du duc et d'un gest de la tête le remercia discrétement. Il se retira ensuite.

Lap entra aussi discrètement que possible dans la salle. Mais en voulant refermé la porte celle-ci claqua. Pour la discrêtion, c'était un peu raté là.

Elle arrivait un peu en retard, mais cela était fait exprès sachant que tout le monde se précipiterai et repartirai aussitôt l'allégeance donner. Ce qui n'était pas pour lui déplaire, elle n'avait toujours pas l'habitude de ce genre de cérémonie, et s'il y avait moins de monde pour la voir bafouiller ça ne serait que mieux.

Elle attendit un instant pour voir que personne ne se présentait pour traverser la salle et se présenter devant le Duc. Elle mit un genou à terre et enfin se lança en espérant ne rien oublier.

Moi, Lap Gofannon, Seigneur de Fayet-Le-Château, nous reconnaissons vous Petitrusse, Seigneur de Jaligny, actuel duc du Bourbonnais-Auvergnat, élu par la grâce des urnes comme suzerain.

Par ce fait; nous vous devons désormais fidélité (obsequium), aides et services armés (auxilium) et conseil (consilium).

Voilà la première partie de faite, elle prit le temps de reprendre sa respiration avant de continuer.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Petitrusse, Duc du bourbonnenais auvergnat, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous

Que si un conflit venait à vous opposer vous Petitrusse, duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à Sa Majesté, Lévan III de Normandie, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui et le Royaume de France. Qu'ainsi, si vous vous opposez à la décision du Roy, ou même à ses principes et valeurs, nous vous soutiendrons pas dans vos actes. Jamais acte ne sera commis contre Sa Majesté

Pourvu qu'elle n'est rien oublier surtout.

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